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 Comment je me suis fait ma voisine

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parasite
Petit têteur
parasite


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MessageSujet: Comment je me suis fait ma voisine   Comment je me suis fait ma voisine EmptyMer 7 Fév - 19:26

(le défi est d'utiliser un max de références à l'anatomie humaine)



Je m'étais offert une bonne bouteille de Bourbon, fort en bouche, un Four Roses du Kentucky, et en avais proposer à ma voisine, en guise de goûter, pour accompagner une tarte que j'avais oubliée, hum, histoire de lui tourner la tête et éventuellement lui ouvrir les cuisses. J'ai eu du nez puisqu'au bout de trois verres elle semblait prête à tourner de l'oeil, et je devais la retenir pour qu'elle ne bascule pas cul-par-dessus-tête! C'était déjà pas mal qu'elle n'ait pas mal au crâne. Moi ça allait, j'ai le coude facile, et c'est pas trois verres de trois doigts chacun qui m'embrument le cerveau. En revanche c'était une bavarde, et j'avais bien l'intention de vérifier si c'était vraiment une gorge profonde.

J'étais fier de mon coup, parce que mes entrevues avec la Veuve-Poignet, ça commençait à bien faire! Trois jours sans rien à me mettre sous la dent, enfin plutôt sous la queue. J'avais les couilles prêtes à exploser, comme Louis Amstrong avait les joues quand il soufflait dans sa trompette (tiens ça rime).
Cachant habilement mon triomphe (en fait j'ai juste croisé les jambes), je lui proposai d'un air innocent de poser son joli cul (je lui ai dit les fesses hein) sur mon canapé en forme d'oreille (ben oui c'est du pop-art, on se moque pas, sinon je botte le cul), que je lui masse le cou.
Le massage, c'est bien quand on est moche, parce qu'en général on est derrière.

Ce qu'elle ignorait c'est que j'avais monté le chauffage, et elle commençait à avoir la figure un peu rouge, alors pour faciliter le massage au niveau des épaules, je lui demandai d'enlever son chemisier. Elle me dit qu'elle avait rien dessous, ça va pas, etc... "Ohhaa j'lui dis, t'as ton soutien-gorge, c'est bon! Puis il fait si chaud... je vais pas te peloter les seins, t'inquiète!" (enfin pas tout de suite, me suis-je ajouté seul à seul avec mon oreille interne).

Le whisky au maïs a des vertus particulières, il délie les langues, mais aussi les complexes. Ma mignonne était à présent en sous-tif sur mon canapé, offerte à mes mains expertes : au poil, mais pas encore à poil!. Je l'avais dans la peau, mais j'y allais sur la pointe des pieds, pour pas la brusquer. Je m'arrangeais tout de même pour faire en sorte d'accrocher à chaque passage ses bretelles, et de rompre chaque fois l'harmonie d'une caresse bien sentie, histoire qu'elle se rende compte elle-même de la gêne qu'occasionnait ce détail.

Lors d'une de ces caresses, avec l'index, je soulevai la bretelle (un peu plus haut que ce qu'il fallait, histoire que ça lui agresse un peu l'épiderme), puis renouvelai l'opération plusieurs fois, jusqu'au moment où d'autorité je les abaissai doucement, avec la délicatesse et la précision d'un équilibriste, dans l'élan d'un mouvement censé masser le trapèze. Bien que me tournant le dos, je sus à ce moment-là qu'elle leva les yeux au ciel, mais pas plus... résignation due au Bourbon.
Mes gestes se firent de plus en plus sensuels, de plus en plus excitant, ce que je pus constater en observant ses tétons qui se mirent à pointer allègrement. Le dos comporte un grand nombre de zones érogènes, surtout chez la femme, et du cou jusqu'à la raie des fesses, je les exploitai toutes, la chauffant suffisamment pour qu'elle accepte sans broncher le dégrafage du sous-tif et la libération à la pesanteur de ses deux obus de calibre 90 D à vue d'oeil.

C'est là qu'intervient le coup du souffle chaud sur la nuque. Elles n'y résistent pas, surtout en y associant peu à peu des caresses de lèvres (ne pas avoir de barbe au menton est un plus à ce point précis de l'opération). Si les mains s'égarent en même temps sur le devant des épaules pour atteindre la poitrine, et qu'il n'y a pas de baffe qui fuse, en général c'est gagné à partir de là.

Pour moi ça a marché en tout cas, elle a commencé à soupirer chaudement, la bouche ouverte, puis s'est retourné et m'a embrassé à coeur-joie, de son haleine encore embourbonnée, nos mains respectives se sont alors égarées un peu partout, les siennes sont venues évaluer ma marchandise, et apparemment j'avais la côte, alors elle m'a côté en bourses.
Puis j'ai pu constater que c'était bien une gorge profonde.

Après, j'ai pris la main, mais c'est une autre histoire que je me garde sous le coude.
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