Sale journée ou pour Sodome

L’anti-chiure, l’excrément à mascarade, le ball-trap et la censure vers la panne.

Sais-tu que nos cadavres, se hissent, force avec force ?
Nos mots sont des jouets.
La torture du bruit du moteur, au loin d’Œdipe, nous les vils, les fous, les salauds, les enculés de la race primate.

L’équivalence est éternelle, symétrique plaie.
Expier la pâleur de la transparence.

Le bruit de la nuit est à vif.
Envoyons-nous par tous les trous et traçons la route. J’ai faim d’un hôtel. Toi.
Nos corps entiers,
Eperdus à traverser la mort qui nous ressemble.

La torture de l’amour est physique.
La dialectique des renards est somme toute
Ascèse syphilitique.

Baroque et
Me ressemblante,
Attendue dans mon corps.

Au-delà des délais, j’envie les vers du sépulcre, convulsifs.
Assis devant la nuit ,
Mes yeux et tes ongles,
Et moi et ton anus,
Je l’aime, précisément. A l’envers et retourné.

Comme un pirate parfumé, je suis sorti des toilettes avec
Les ongles noirs,
Il n’y avait plus de papier,
Sale journée pour Sodome.


ChetB.

Il n’y avait personne aux alentours.
Derrière le muret, j’ouvris cette revue et commençai maladroitement à me masturber.
Sur la photographie, une femme-tronc, ne possédant ni jambes ni bras.

Nue, avec un anneau dans le sexe. L’ultime but de ma perversité.

Reine des lèvres, une congolaise capitaliste.

ChetB.

, c'est fou le nombre de textes idiots qu'on peut lire sur ce site !

Césarienne pour tout le monde, le kamoulox vaincra !

Pas convaincu pour le Kamoulox mais par l'anus, plutôt oui.

Tu as encore des peintres d'entre midi et deux à nous présenter ?