Ecriture et positionnement néo-réaliste
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 Réveiller les sens...

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2 participants
AuteurMessage
Mel.K.
Hygiéniste bêlant



Nombre de messages : 2

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MessageSujet: Réveiller les sens...   Réveiller les sens... EmptySam 24 Mar - 11:59

« Hier soir, elle était dans le métro. Comme y’avait un match, c’était bondé. Les gens étaient serrés les uns contre les autres et elle gardait son sac contre sa poitrine. Un homme était derrière elle, elle savait ni sa taille, ni son âge, mais quand le métro a freiné brusquement il s’est retrouvé collé contre elle et elle a senti son érection contre ses fesses, à travers les épaisseurs de tissu. Elle aurait pu se décoller, même sans faire un pas. Juste en bougeant imperceptiblement. Mais au contraire elle s’est collée un peu plus l’air de rien. Juste avant l’arrêt « Mairie » il a glissé une main sous sa jupe et lui a pincé le cul. Elle a crié, tout le monde l’a regardée. Elle a vu la foule qui descendait de la rame. Dont sept hommes. Pas moyen de deviner lequel c’était.

Dans son rêve, il est plus entreprenant que dans la réalité. Il glisse la main, dans sa culotte, dès la première station. Et lui met deux doigts. Il bouge en elle au rythme de la machine pendant qu’elle se tient à la barre centrale pour ne pas tomber. Il a une chevalière énorme qui lui fait un peu mal. Il…. »

Il est six heures du mat. Elle se réveille en sueur. Elle est hyper excitée.
Marc ronfle à côté d’elle. Elle glisse sous les draps, lui enlève son slip et le prend en bouche. Il est minuscule. Elle le réchauffe. Distille la chaleur, comme dans un bâillement, comme pour faire de la buée sur une vitre. Petit à petit, il se déploie. Elle bouge pour qu’il prenne le bon axe, elle le lèche un peu. Marc grogne.
- Qu’est-ce tu fous ?
- Je réveille ta queue.
- T’es folle, laisse moi dormir…
- Dors, c’est pas toi qui m’intéresse, c’est juste ta queue.

Finalement c’est rapide. Elle est assez dure. Mais pas complètement. Assez pour être sucée, c’est clair, mais pour grimper dessus ? Si elle réveille Marc en lui tordant la bite elle va passer un sale quart d’heure. Elle préfère le besogner encore un peu pour être sûre. Puis quand elle est sûre, elle se met en selle et le chevauche. Ça glisse tout seul tellement elle est mouillée. Marc râle. Elle penche la tête en avant pour lui caresser le torse avec ses cheveux.
- Laisse toi faire. Pour une fois que je fais tout, tu devrais profiter.
Il fait toujours semblant de vouloir dormir mais elle sent sa respiration qui s’accélère. Puis sans crier gare, il lui attrape les reins et la balance par terre. Elle se relève. Elle saigne du nez. Son excitation monte d’un cran. Elle aime quand il est brutal.

- Mets toi à plat ventre et serre les cuisses. Je veux te forcer un peu et j’aime pas quand t’es trop large.
Elle s’exécute. Relève sa croupe. Elle s’accroche des deux mains aux barreaux du lit. Il lui tire les cheveux tout en faisant des vas et viens rapide. Puis il décélère tout en augmentant l’amplitude. Il sort presque, lentement, rentre à nouveau d’un mouvement puissant. Recommence. Grogne à chaque coup qu’il donne alors que le lit commence à grincer. Elle serre les dents. Il continue. Maintenant, il sort à chaque coup et rerentre avant qu’elle ait eu le temps de se refermer.

- Attache moi.
- J’ai d’autres choses à foutre. Tu m’emmerdes avec tes fantasmes à la con.
Il lui met un oreiller sur la tête et appuie. Elle arrive mal à respirer mais suffoque pas encore. Il va de plus en plus fort. Elle s’agrippe, se phalanges sont blanches. Sa tête cogne contre les barreaux, à l’avant du lit. Le plaisir anticipé se mêle à l’angoisse et la peur, elle aime et craint ce moment. Elle sait ce qu’il va faire. Elle a beau s’y attendre, il le fait quand même quand elle s’y attend pas.
Il le fait.
Il change brusquement de voie.
C’est même pas la peine de se demander comment il fait pour pas s’arracher le bite. Lui, ça lui fait rien. Tellement il bande. Tellement il est dur. Plus dur qu’une batte de base-ball. Il pourrait entrer n’importe où. Elle, elle manque de défaillir sous le choc et se mord les lèvres jusqu’au sang.

D’habitude, après deux-trois mouvements, le conduit fait comme une huile, ça glisse, et le plaisir revient prendre le pas sur la douleur. Mais pas là. Elle est dégrisée pour le coup.
- Arrête. J’ai mal.
- Fais pas chier. T’as ce que tu cherchais. Puis t’aime avoir mal…
- Mais là j’ai mal pour de vraie. Je crois que tu m’as déchiré un truc. ARRETE !
- Ferme ta gueule !
Il la gifle alors qu’elle éclate en sanglots. Elle essaie de se débattre mais il est plus fort qu’elle. Il la frappe, puis lui remet l’oreiller sur la tête et appuie plus fort. Jusqu’à ce qu’elle ne bouge plus. Elle se réfugie dans un coin de sa tête. Essaye de ne plus penser à rien, l’entend grogner. Un spasme final. Puis plus rien.

Il se lève. Va pisser dans le lavabo et se nettoie au passage. Revient s’asseoir sur le lit et s’allume une cigarette.
- Alors ? Heureuse ?
- Connard ! J’ai le cul en feu, je parie que je peux même plus m’asseoir. Un jour tu vas aller vraiment trop loin et je vais te plaquer. La première fille que tu toucheras elle t’enverra direct en taule, et tu pigeras enfin la nana géniale que j’étais !
- Tu fais la gueule parce que t’as pas jouis, c’est ça ?
- Ouais, c’est ça. Attend que je te défonce la gueule à coup de fer à repasser et on verra si tu jouies ! T’es con ou tu le fais exprès ? Tu comprends pas la différence entre les fantasmes et la réalité ?
- Non, je suis pas une gonzesse. Dis moi où t’as mal, que je panse tes plaies de mes lèvres magiques.
- Laisse béton. Je suis plus d’humeur. Et en plus je suis pleine de foutre.
- Tant que c’est le mien, ça me dérange pas…

Elle se laisse faire. Il l’embrasse. La lèche. La suce. L’aspire. Il la caresse de sa langue. Elle sent la langueur la gagner. C’est doux. Avec ses mains, il la malaxe. Les fesses, le ventre, les seins.
De la bouche, toujours, il la pénètre. Il la baise. Il l’encule. Ça monte en elle. Une sève brûlante. Elle se met à pleurer. Ça n’a jamais été si fort. Elle hoquette.

- Finalement, tu me plaques ou tu m’aimes encore ?
- T’es qu’un sale pervers. File moi une clope.

Il est sept heures. Dehors, le jour se lève.
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omega-17
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MessageSujet: Re: Réveiller les sens...   Réveiller les sens... EmptyMer 28 Mar - 11:31

Pas le temps de lire.

Je reviendrai.
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