autofiction d'un frustré sexuel de seize ans : Kundra (6)
6. Kundra
A présent, les journaux parlaient de lui. Ils conseillaient la plus vive prudence, n'ayant aucune trace et aucun indice à se mettre sous la dent. Il descendit du train et entreprit sa ronde quotidienne. Il se baladait en ville lorsqu'en plein après-midi il aperçut une chevelure bouclée et châtain. Elle portait une veste de jean bleue et un pantalon noir assez moulant. Elle se retourna et il l'aperçut : ses yeux et ses sourcils la transformaient en véritable tigresse maghrébine. Il la suivit jusqu'à son appartement et attendit patiemment la tombée de la nuit. Puis il s'immisça dans la chambre de la jeune fille. Elle dormait devant sa télé qui était restée allumée. Elle était habillée comme durant la journée. Il éteignit la télévision et s'approcha de la tigresse et lui déboutonna lentement le pantalon. Puis il fit passer ses mains sur les seins de la jeune fille. Il tenta de lui retirer son haut mais la réveilla. Aussitôt elle fut prise de panique mais elle n'eut pas le loisir de crier : il se jeta sur elle, la jeta à terre et lui sauta dessus. Elle ne bougeait plus, plaquée le ventre au sol. Il frappa sa tête contre le sol pour l'affaiblir puis lui ôta sa culotte : les fesses à l'air, il récupéra la télécommande et lui caressa le postérieur. Il la retourna violemment et lui asséna un violent coup de tête. Il lui caressa le sexe avec la télécommande. Elle ne bougeait plus mais respirait encore. Il lui caressa les seins et lui mordit violemment le clitoris. Il remonta sa langue jusque dans la bouche. Il saisit la télécommande et lui inséra dans la bouche, puis il l'étrangla. Elle s'étouffait lentement pendant qu'il lui arrachait ses cheveux et qu'il lui caressait les seins. Puis il la retourna et lui embrassa doucement le postérieur. Après quelques minutes, il se leva et disparut.