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 autofiction d'un frustré sexuel de seize ans : Mathilde (1)

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MessageSujet: autofiction d'un frustré sexuel de seize ans : Mathilde (1)   autofiction d'un frustré sexuel de seize ans : Mathilde (1) EmptySam 10 Mar - 1:50

autofiction d'un frustré sexuel de seize ans : Mathilde (1)

1.Mathilde

Elle n'utilisait pas ses verrous. En tout cas pas cette fois-ci. Un simple appareil lui permit d'ouvrir la porte. Cette porte là ne faisait pas de bruit. Il la referma derrière lui avec application. La pièce baignait dans l'obscurité. Les bruits de la journée s'étaient évaporés. Le silence était presque total. Il patienta quelques instants pour profiter pleinement de cet instant et pour laisser s'acclimater ses yeux à l'obscurité. A présent il distinguait légèrement les objets les plus proches. Au bout de la pièce principale, une fenêtre laissait passer des « rayons » de la lune. Il traversa ce qui devait être le salon puisqu'un téléviseur reflétait les rayons lumineux. A bout du salon, une sorte de cuisine, à gauche de la fenêtre était reconnaissable. En s'approchant il distinguait des plaques électriques, un frigo, quelques tiroirs. La cuisine n'était séparée du salon que par un long meuble sur lequel on pouvait poser des affaires ou de la nourriture. Il ouvrit délicatement un premier tiroir. Quelques affaires sans intérêt étaient rangées ici. Il ouvrit un second tiroir avec autant de minutie que la première fois. Le tiroir gémit doucement, preuve de son utilisation plus fréquente. Quelques fourchettes, cuillères et couteaux en tout genre étaient posés ici. L'un de ces objets attira son attention : un couteau pointu en acier inoxydable d'assez faible dimension. Il n'avait pas trouvé plus gros, celui-là ferait bien l'affaire. Il le pêcha doucement avec deux doigts au milieu des autres couteaux. Il referma le tiroir. A présent il se sentait fort. L'appréhension de ce nouveau lieu avait laissé place à un plaisir et un sentiment de pouvoir phénoménal. Doucement, il reprit sa route. De l'autre côté de la fenêtre, une porte était restée entrouverte. Il la poussa gentiment. Il comprit rapidement qu'il s'était trompé : la pièce était de petite taille, les cuvettes à sa gauche, la douche à sa droite. Il revint sur ses pas, retraversa la pièce principale et tourna délicatement la poignée de la porte qui se situait à gauche de l'entrée. Le noir était presque total. Il ouvrit la porte complètement. Il s'approcha doucement du mur d'en face. Puis il s'arrêta : il avait touché au but.
Il était dans la chambre à coucher. Un petit lit deux places lui faisait face. Il était aux pieds du lit, une grande bouffée d'excitation et de plaisir le rempli. La jeune fille était là, elle dormait sur le dos, sa main droite près de son oreille droite, sa main gauche pendait du lit. Le drap lui recouvrait parfaitement le corps et était remonté jusqu'au niveau des épaules. Un oreiller lui réhaussait très légèrement sa tête. Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes, ses cheveux masquaient légèrement une faible partie de son visage. Il aurait voulu voir ses yeux une nouvelle fois mais c'était peut-être mieux ainsi. Il passa sur le côté du lit puis doucement, prit le drap et le ramena aux pieds du lit. Elle dormait seulement avec une culotte. Son corps presque intégralement nu était d'une beauté admirable et désirable. Sa chevelure était entre blond et châtain, les cheveux lui arrivait en haut des seins, sa taille était moyenne. Elle était quasiment bien proportionnée. Sa poitrine était moyenne, ses épaules peut-être un brin trop larges. Ses sourcils impeccablement taillés, son nez ravissant et ses cuisses normalement constituées finissaient ce rapide portrait physique. Il était obsédé par une seule chose : cette culotte était en trop. Ses cuisses faiblement écartées, il pouvait espérer baisser légèrement sa culotte. Il se rapprocha du corps chaud et délicieux et plus particulièrement des cuisses et de l'entrejambe de la jeune femme. Doucement il glissa ses pouces sous l'élastique de l'intrus. Il écarta ses pouces et descendit lentement ses pouces. La petite culotte se déplaçait difficilement, il aurait du forcer pour l'enlever, c'était assez risqué. Il sortit le couteau de sa poche et perça la culotte. Puis il la fendit et sectionna l'élastique. Il la déchira complètement. Il écarta les bouts de tissus sur les cuisses de la jeune femme. Elle était irrésistible. N'importe qui aurait été conquis et aurait succombé à son charme. Une goutte de sueur coula de son entreseins vers son nombril. Il s'approcha du trésor maintenant à découvert. Il passa délicatement le bout de sa langue sur le corps de la jeune femme. Il partit du bas de sa cuisse gauche, remonta tout doucement vers un bout de sa culotte. Puis il caressa délicatement avec la langue, le clitoris de la jeune femme. Il le caressa aussi avec ses lèvres. Puis il abandonna cette région délicieuse pour partir à l'aventure vers d'autres contrées comme le nombril. Avec l'extrémité de sa langue il gravit le premier sommet : il trouva un téton délicieux et ferme en guise de récompense. Il embrassa délicatement sa récompense de multiples fois. Avec l'extrémité de ses doigts il caressa l'intérieur d'une cuisse à la recherche d'une zone plus poilue. Il la trouva rapidement. Il était à présent au dessus de la jeune femme. Elle était immobile, ces caresses ne l'avaient même pas réveillée. Il re-sorti son couteau de sa poche. Avec la lame il caressa doucement le sexe de la jeune femme. La froideur de la lame semblait la déranger. Elle fit quelques légers gestes de la tête. Progressivement, il pénétra le bout de la lame du couteau dans le sexe de la jeune femme. Il posa sa main sur sa bouche pour qu'elle ne réveille pas les voisins. Il rencontra une légère résistance. Il mit un peu plus de force dans le geste. La jeune femme ouvrit les yeux difficilement. Il bloqua sa mâchoire inférieure pour ne pas qu'elle crie. Il enfonça progressivement la lame. La jeune femme se débattit violemment. Il finit son travail d'un coup sec et violent. Le sang inondait les draps, les yeux de la jeune femme étaient effrayants. Il enfonça le couteau jusqu'au bout, puis avec ses deux mains il lui boucha le nez et lui bloqua la bouche. Elle se débattit quelques instants avant de perdre toutes ses forces et tout son sang. Sa figure était livide, son sexe était méconnaissable : un filet de sang ininterrompu le voilait constamment. Elle venait de payer. Pour elle, pour toutes les autres avant elle. Toutes ces femmes qui ne voulaient pas de lui, qui ne l'appréciaient même pas, qui se moquaient de lui. L'heure de la vengeance avait sonnée : c'était à lui à présent de faire souffrir et de détruire. Jour après jour, il détruira celles qu'il désire éperdument mais qui ne le voient pas. Des belles inconnues paieront pour celles du passé.
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